Une incroyable revue de presse

Depuis le salon de l'agriculture la Normande a une impressionnante revue de presse, la une et les 2 premières pages de l'Avenir agricole cette semaine, ici une chronique sur Web-agri. Ce qui est très satisfaisant c'est la cohérence du message.

Un salon exceptionnel

Cette semaine a été vraiment très intense et les planètes se sont alignées remarquablement. Le dossier Camembert a ouvert le débat avec tout de même une grande nécessité de communiquer pour expliquer les décisions. Nous avons eu ensuite de très beaux lancements de produits avec le bœuf Normand herbager et la route des fromages.
Nous avons aussi eu des discussions sur la structuration de notre maison avec les acteurs de la qualité.
Nous avons parlé International avec quelques belles perspectives pour la fondation MONDION et des améliorations d'organisation.
Tout cela s'est passé dans une très bonne ambiance avec les Ets GROSDOIT au fourneau (sans oublier Michel matinal pour l'ouverture). On a même servi des évêques qui ont fini comme il se doit par un Pont l’Évêque de bonne facture.
La revue de presse est abondante...

Joli Concours

Nous avons passé un moment agréable dans le ring ce Dimanche avec un concours bien animé, un message renouvelé, un juge très pédagogue qui a mis beaucoup de professionnalisme dans son jugement, merci à tous et bravo à la Championne.

Le salon démarre à fond

Grosse actualité en Normande pendant le salon avec beaucoup d'articles dans la presse à propos du Camembert et du bœuf traditionnel Normand.

Un tournant pour La Normande

Ca y est la décision est tombée.

Le Camembert fabriqué en Normandie va rentrer dans une logique d'AOP avec un cahier des charges comprenant notamment l'obligation de 30% de vaches Normandes dans chaque troupeaux et 50% dans la collecte. Il y a également des conditions de production sur le pâturage.
Le Camembert AOP d'aujourd'hui bénéficiera de la mention valorisante "Véritable Camembert de Normandie" et gardera ses spécificités, notamment le "lait cru".
C'est un tournant pour la race avec passage de 500 actuellement à 2 000 producteurs concernés par ces évolutions de la situation du Camembert. Il est trop tôt pour parler de rémunération mais à n'en pas douter il va y avoir une tension évidente sur le lait de Normande en Normandie et sur les génisses et les vaches en lait Normandes pour l'ensemble de la race.
Le niveau des discussions que nous avons actuellement sur le futur du dispositif génétique Normand est tout à fait dérisoire dans ce contexte. Espérons que les acteurs vont se saisir de cette conjoncture propice pour élever le débat.