"Je suis en train de faire tourner VARUME pour toutes les
races. Je n’ai pas finalisé le bilan complètement pour la Normande mais la
fumée est plutôt blanche : bien sûr, la variabilité génétique reste
étroite, mais il n’y a pas de dégradation par rapport au bilan précédent, voire
une amélioration légère de la situation.
Par exemple la taille efficace (calculée par la méthode
Cervantés) a légèrement augmenté, passant de 80 pour la période 2004/2007 à 82
pour les vaches nées entre 2010/2013. Concrètement, cela signifie que la pente
de consanguinité est moins forte. Par ailleurs on note un effort global sur
toute la population pour limiter la consanguinité : toujours pour la
période 2010/2013, la parenté des animaux est de 5,6% et leur consanguinité
moyenne de 4,9%. Concrètement cela veut dire que les accouplements sont
optimisés pour limiter la consanguinité."|
Coralie
Danchin-Burge
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