Le salon de l'agriculture 2014 s'écoule tranquillement, nous sommes à dire vrai bien occupés.
Ce salon reste un moment privilégié de contacts un peu pour le commerce et aussi pour nos réseaux. La convivialité de notre stand est appréciée et il y passe beaucoup de monde. En façade nos AOP se comportent très bien et réalisent de belles ventes.
Le concours s'est bien déroulé, reste quand même à travailler la dynamique du ring, des musiques... Nous sommes un petit peu dans la routine mais comment innover ?
Petit point très positif, plusieurs personnes se sont dit prêtes à se mobiliser pour faciliter et renforcer les moments de convivialité et de cohésion dans réserve. C'est important en terme de vie de race.
Autre point marquant sur ce salon : La récupération de l'image de l'agriculture, des races, des éleveurs a franchi un pallier qui soulève plein de questions. L'enseigne CARREFOUR en lançant sa marque Origine et Qualité a soulevé l'indignation des porteurs d'AOP et d'IGP. J'ai eu l'occasion de m'exprimer sur ce point dans plusieurs média et devant plusieurs ministres. Les filières avec tous les maillons de la transformation et de la distribution sont nécessaires mais elles doivent se construire dans le respect de chaque acteurs.
jeudi 27 février 2014
mercredi 12 février 2014
Un projet Européen autour du Low-input
Nous sommes sollicités pour participer à un projet Européen impliquant implique l’Allemagne, la Belgique, la France, les
Pays-Bas, la Suisse, la Slovénie et la Pologne. Coté français, les partenaires
seraient les OS (Mon, Nor et Bleue du Nord), l’Inra, l’ITAB et Idele.
Le thème général serait l'adaptation des races mixtes aux systèmes Bio et avec faible niveau d'intrants.
Nous allons nous mettre dans la boucle compte-tenu des réflexions actuelles sur Normande 2050.
Le thème général serait l'adaptation des races mixtes aux systèmes Bio et avec faible niveau d'intrants.
Nous allons nous mettre dans la boucle compte-tenu des réflexions actuelles sur Normande 2050.
samedi 1 février 2014
Des projets se dessinent
Au fil de la réflexion Normande 2050 et des réunions diverses une idée s'installe dans les têtes.
Si nous voulons travailler de nouveaux critères de sélection, il nous faudra un grand nombre de données (de l'ordre de 10 000) sur des animaux génotypés. Au rythme actuel nous génotypons de l'ordre de 2 000 femelles chez les éleveurs OS donc 5 ans au moins pour avoir un résultat.
Ne faudrait-il pas se donner les moyens de faire massivement du génotypage chez les éleveurs qui collectent le plus de performances individuelles dans le cadre de l'OS : Contrôle laitier, morphologie adulte...
Si nous voulons travailler de nouveaux critères de sélection, il nous faudra un grand nombre de données (de l'ordre de 10 000) sur des animaux génotypés. Au rythme actuel nous génotypons de l'ordre de 2 000 femelles chez les éleveurs OS donc 5 ans au moins pour avoir un résultat.
Ne faudrait-il pas se donner les moyens de faire massivement du génotypage chez les éleveurs qui collectent le plus de performances individuelles dans le cadre de l'OS : Contrôle laitier, morphologie adulte...
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